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  • Un petit site de fans qui grandit.

    Posté le 17 juin 2009 Pierro Pas de commentaires

    Aujourd’hui un petit peu de pub pour un site très sympa : Consomac

    Qui à évolué la semaine dernière et qui adopte une nouvelle interface de navigation plus sympa et plus dynamique.

    Mais Consomac, qu’est-ce que c’est ?

    Et bien c’est tout simple, il s’agit d’un baromètre des sorties des produits Apple, avec une fiche détaillée pour chaque produit et des analyses très pertinentes.

    Consomac

    Vous pouvez cliquer sur l’image pour vous rendre sur le site et fouiller par vous même pour vous rendre compte de son utilité. A noter qu’une version iPhone est également disponible.

    @ la prochaine

    jul

  • Hadopi censurée par le Conseil Constitutionnel !

    Posté le 10 juin 2009 Pierro Pas de commentaires

    Ça gazouillait depuis le début de l’après-midi sur Twitter, et la nouvelle officielle est tombée aux alentours de 17h  : saisi par les députés socialistes, le Conseil constitutionnel a décidé de censurer le dispositif de riposte graduée contenu dans la loi Création et Internet (Hadopi). Le texte devra donc repasser devant le Parlement.

    Premier point censuré : on ne peut pas priver un citoyen de sa connexion Internet sans décision judiciaire. « La liberté de communication et d’expression, énoncée à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, fait l’objet d’une constante jurisprudence protectrice par le Conseil constitutionnel […] Cette liberté implique aujourd’hui, eu égard au développement généralisé d’Internet et à son importance pour la participation à la vie démocratique et à l’expression des idées et des opinions, la liberté d’accéder à ces services de communication au public en ligne ».

    En somme, les sages donnent raison au député européen socialiste Guy Bono qui a combattu la loi Hadopi en introduisant, dans la directive européenne dite « Paquet télécom », l’amendement 138 qui aboutit à la même conclusion.

    Deuxième point : le renversement de la charge de la preuve institué par Hadopi. La loi prévoyait qu’un internaute était présumé avoir téléchargé illégalement dès lors que son adresse IP était repérée par les ayants-droits. C’était à l’internaute de prouver l’inverse. Pour les sages, « en méconnaissance de l’article 9 de la Déclaration de 1789, la loi instituait ainsi, en opérant un renversement de la charge de la preuve, une présomption de culpabilité pouvant conduire à prononcer contre l’abonné des sanctions privatives ou restrictives du droit ».

    Dès lors, le Conseil a globalement « censuré, aux articles 5 et 11 de la loi déférée, toutes les dispositions relatives au pouvoir de sanction de la commission de protection des droits de l’Hadopi ».
    Il ne lui reste donc qu’un rôle d’avertissement à l’égard des internautes. Ce sera à un juge issu de l’ordre judiciaire d’ordonner une éventuelle sanction.

    Lire le communiqué du Conseil Constitutionnel

    Réaction de Christine Albanel :
    « Christine Albanel se félicite que le principe d’un dispositif pédagogique de prévention du piratage ait été validé par le Conseil constitutionnel. Il s’agit d’une avancée capitale dans la lutte qu’elle entend continuer à mener contre le pillage des droits des créateurs et en faveur d’un Internet civilisé.

    La ministre regrette de ne pouvoir, comme le Gouvernement et le Parlement l’avaient souhaité, aller jusqu’au bout de la logique de « dépénalisation » du comportement des internautes, en confiant à une autorité non judiciaire toutes les étapes – y compris le prononcé de la sanction – du processus. Elle prend acte sur ce point du choix du Conseil constitutionnel et proposera au Président de la République et au Premier ministre de compléter rapidement la loi Création et Internet pour confier au juge le dernier stade de la « réponse graduée ».. ». Parallèlement la mise en place de la Haute Autorité instituée par la loi, exclusivement chargée du volet préventif de la lutte contre le piratage, se fera selon le calendrier prévu et les premiers messages d’avertissement seront adressés dès l’automne aux abonnés à Internet. »

    Lire le communiqué de presse de Christine Albanel

    Télérama.fr

    Florilège de réactions sur Twitter :

    versac : Il se passe quelque chose sur hadopi ? Je n’ai rien vu passer sur twitter…^^

    nicolasvoisin hadopi, merci à @jacqueschirac @valeriegiscarddestaing @jeanlouisdebre @pierrejoxe & friends /-)

    affordanceinfoprochaine étape pour sarkozy : dissoudre le conseil constitutionnel.

    eni_kao Hadopi, c’est 11 gusses et un Sphinx qui sont aware. Liste des suspects et détail de leur organisation.

    Silvae Hapudopi hapudopi ! (mdr tout seul sur le quai du rer) #pas-peur-du-ridicule

    hubertguillaud #hadopi fiesta. Va télécharger l’intégrale de la compagnie créole pour fêter cela. Ohéohé en enverea un extrait à albanel (byebye !)

    Pierro

  • Les coulisses de Roland-Garros…

    Posté le 27 mai 2009 Pierro Pas de commentaires

    Un billet très bref aujourd’hui, pour vous recommander la lecture d’un article sur les coulisses de Roland-Garros, publié par Eric, l’auteur de Presse-Citron.

    Pour lire l’article, c’est par ici !

    Pierro

  • Un traducteur universel automatique ? Oui Monsieur !

    Posté le 20 mai 2009 Pierro Pas de commentaires

    Nouveau dans les Labs de Gmail : la traduction automatique des messages !

    Retour au début de l’existence humaine, avant que la langue ne soit pleinement développé ; nos ancêtres des cavernes devaient sans doute faire beaucoup de grognements :

    La langue, et donc la vie, était très simple :

    - Faites attention à ce tigre à dents de sabre (« Blorg! AIYA!!! ») ;
    - Arrêtes de monter le mammouth laineux et viens m’aider à cueillir des baies (« Argh. Zagle zorg! ») ;
    - Man, il fait froid dans cet Ice Age (« Brrrr. »).

    Au bout d’un moment, tous ces grognements ont divergé en des milliers de langues distinctes, et la vie est devenu à la fois plus riche et plus complexe. Et donc depuis des centaines d’années, nous avons du mal à communiquer dans un monde multilingue. Ce qui nous amène à aujourd’hui.

    Comme le cœur et l’âme de Gmail est d’aider les gens à communiquer, je suis fier d’annoncer l’intégration de la technologie de traduction automatique de Google directement dans Gmail.

    Il suffit d’activer « la traduction du message » de l’onglet Labs dans les Paramètres, et lorsque vous recevez un e-mail dans une langue autre que la vôtre, Gmail vous aide à le traduire dans une langue que vous comprenez. En un seul clic.

    Si les personnes concernées utilisent Gmail, vous pouvez avoir des conversations entières en plusieurs langues avec pour chaque participant les messages dans la langue la plus confortable pour lui.

    Ce n’est certes pas tout à fait le traducteur universel dont nous sommes si fans dans la science fiction, mais grâce à Google Traduction, c’est un pas excitant dans la bonne direction. J’utilise cette fonctionnalité tous les jours pour m’aider à travailler avec des collègues dans le monde entier, (ils pensent que mon japonais est bien meilleur que ce qu’il est vraiment… Mais chut !).

    Que vous soyez en train de lire des nouvelles de votre famille de l’autre côté du monde, que vous soyez en train de collaborer avec une équipe multinationale, ou tout simplement d’essayer de parvenir à la paix dans le monde, ne vous inquiétez pas, Gmail est avec vous.

    En attendant la prochaine fois, adiós, またね, tchau, and 再見 !

    Darren Lewis, Software Engineer chez Google

    Vous l’avez peut-être deviné, ce message est traduit de l’Anglais en utilisant cette nouvelle fonction de Gmail :

    Et même si ce n’est pas encore parfait, c’est déjà très impressionnant !

    Pierro

  • Que va faire Philippe Val ?

    Posté le 12 mai 2009 Pierro Pas de commentaires

    Voici une reprise d’un article publié sur Télérama à propos du futur de France Inter…

    Tandis que Jean-Luc Hees, nouveau PDG de Radio France, entre en fonction aujourd’hui, à France Inter, on ne doute plus vraiment de l’arrivée de Philippe Val, futur ex-patron de l’insolent “Charlie Hebdo” (donnée pour le 2 juin). Et certains (anonymes…) dissimulent mal leur inquiétude.

    Les grands travaux vont débuter, à France Inter. Le 2 juin, Philippe Val devrait remplacer Frédéric Schlesinger, directeur depuis cinq ans. Une information que relaient des conseillers de l’Elysée, mais que, le 6 mai dernier, l’intéressé ne voulait ni confirmer ni infirmer, ajoutant « d’une façon ou d’une autre, je travaillerai avec Jean-Luc Hees ». Le futur ex-patron de Charlie Hebdo et son ami le nouveau président de Radio France devraient aussitôt s’attaquer à la nouvelle grille de septembre, modifiant du coup l’avenir des uns ou des autres. Pour l’heure, dans les couloirs de France Inter, personne ne semble y prêter attention. Au mieux, certains journalistes ou producteurs assurent avec beaucoup de distance « on attend », « on verra ». D’autres, avec une pointe d’humour et de cynisme, lancent « c’est amusant ». Et tous d’affirmer, comme une profession de foi : « On jugera sur pièces, après la déclaration de politique générale de Philippe Val. »

    Le temps, évidemment, n’est pas à la confidence. Prudence et langue de bois dissimulent mal de nombreuses inquiétudes. Et, sous couvert d’anonymat, chacun se perd en conjectures. Si l’arrivée de Philippe Val est confirmée, que deviendra la radio publique ? Quels changements viendront modifier la grille ? Une ligne éditoriale sera-t-elle imposée ? Et l’indépendance de la chaîne par rapport au pouvoir ? Et la matinale ? Et les départs ? Il y a ceux qui vont s’en aller, indépendamment de l’arrivée de Philippe Val, profitant des propositions de la concurrence – une rumeur donne Yves Calvi débauché par RTL. Il y a tous les autres, journalistes ou producteurs (leurs contrats annuels se terminent fin juin), qui se demandent à quelle sauce ils vont être mangés par l’ancien patron de Charlie Hebdo.

    « Il ne touchera à rien », assurent les optimistes. A leurs yeux, Philippe Val n’est pas ce coupeur de têtes que l’on décrit. Il connaît la chaîne pour avoir tenu une chronique hebdomadaire, chaque vendredi. Il ne pourra pas non plus être la courroie de transmission de l’Elysée, ayant dirigé un journal qui prône l’insolence, la critique de l’Etat et se veut résolument de gauche. Enfin, et c’est peut-être là l’argument le plus réaliste, France Inter, comme toutes les radios, est un porte-avions qui a sa logique propre et une force d’inertie qu’il est difficile d’ignorer. D’ailleurs, quel intérêt aurait Philippe Val à changer une équipe qui gagne, à bousculer une chaîne qui ne cesse d’augmenter son audience (lire encadré ci-dessous) et dont la courbe ascendante suscite le respect de la part de ses concurrentes privées ? Il n’y aurait donc rien à craindre de ce changement de direction, d’autant que le nouveau patron de Radio France est un ancien directeur de France Inter, viscéralement attaché à la chaîne. Dont acte.

    Mais ces arguments ne suffisent pas à rassurer les pessimistes qui posent d’autres questions. Philippe Val sera-t-il capable de conduire une chaîne qui compte plus de cinq millions d’auditeurs quotidiens, alors que son expérience de direction se limite à un magazine qui, au regard de la puissance de la radio, apparaît comme un fanzine ? D’autant que Philippe Val n’est pas connu pour son sens aigu de la direction d’équipe. Le nouveau directeur sera-t-il d’autre part capable de laisser à la porte d’Inter ses positions idéologiques ? Que se passera-t-il lorsque la rédaction devra parler du conflit israélo-palestinien alors que l’inconditionnel soutien pro-israélien de Philippe Val est de notoriété publique ? Comment la chaîne devra-t-elle se comporter lors de la présidentielle de 2012 ? Pourra-t-elle dire ce qu’elle pense du bilan de Nicolas Sarkozy qui a personnellement choisi et le président de Radio France et Philippe Val ? Devra-t-elle, pendant la campagne électorale, oublier de poser les bonnes questions, pour adopter une neutralité de bon aloi ? Et quid de l’impertinence d’Inter, une de ses marques de fabrique, quand Jean-Luc Hees vient d’assurer devant le CSA « douter que les auditeurs la cherchent » ? A croire le tout nouveau président de Radio France, Stéphane Guillon, l’humoriste de la matinale d’Inter qui agace tant le président de la République, restera à l’antenne. Mais il n’a pas précisé à quelle heure. Et Thomas Legrand, l’éditorialiste politique de la matinale ? Et Daniel Mermet, dont la voix particulière n’est pas du goût de Philippe Val ?

    A cette avalanche d’interrogations et de craintes s’en rajoute une dernière, partagée par tous : celle du caractère autocratique du futur directeur de France Inter. Ses emportements, ses opinions tranchées risquent de se marier bien mal avec une chaîne composée de personnalités fortes, de journalistes et producteurs compétents et qui entendent être respectés. A quelques jours de l’arrivée du nouveau patron, l’ensemble du personnel, rassuré ou non, crédule ou dubitatif, espère que, « la fonction faisant l’homme », Philippe Val endossera dignement les habits de directeur de la chaîne publique. Il trouvera alors une radio en bonne santé. Et en ordre.

    L’autosatisfecit de Jean-Luc Hees

    « Lorsque j’étais directeur de France Inter, j’ai toujours été devant Europe 1. Mes plus mauvais scores d’audience, réalisés lors des grèves, sont meilleurs que ceux d’aujourd’hui », affirmait Jean-Luc Hees lors de son audition devant le Conseil supérieur de l’audiovisuel. Le tout nouveau patron de Radio France faisait alors coup double : il revendiquait la qualité de son travail lorsqu’il dirigeait la chaîne généraliste de 1999 à 2004 et montrait combien, depuis la nomination de Frédéric Schlesinger, France Inter avait baissé. La réalité des chiffres est, bien sûr, plus complexe.

    Quand Jean-Luc Hees est nommé directeur en janvier 1999, l’audience d’Inter réalise en effet un score remarquable : 12,1 points selon Médiamétrie (1). Mais lorsqu’il laisse la chaîne en 2004, les chiffres ont chuté puisqu’elle n’affiche plus que 10,3. Puis, sous la direction de Gilles Schneider, France Inter passera sous la barre des 10 pour afficher un 9,2 en avril-juin 2006 lorsque Frédéric Schlesinger est nommé pour remonter l’audience. Une mission réussie puisque Inter regagne du terrain pour atteindre aujourd’hui les 10,2, se plaçant au-dessus d’Europe 1 (9,4).

    Certes, ce chiffre est encore inférieur à celui revendiqué par Jean-Luc Hees. Mais il faut ajouter trois paramètres pour modérer son enthousiasme : l’audience globale du média radio s’est fortement réduite (86,8 en 2003 contre 81,2 aujourd’hui, soit une perte de deux millions et demi d’auditeurs) ; le Plan FM 2006 n’avait pas encore été lancé par le CSA, distribuant de nouvelles fréquences pour les radios privées, améliorant ainsi leur couverture (5 millions d’auditeurs pour RMC, 3 millions pour Europe 1 et 2 millions pour RTL) ; enfin, RMC n’avait pas encore réalisé sa spectaculaire percée et l’écoute de la radio sur Internet était inexistante. C’est dans ce contexte très fortement modifié que France Inter a amélioré ses résultats. Une performance qui, à défaut d’être saluée pour des raisons tactiques, méritait un peu de considération.

    Véronique Brocard

    (1) L’audience d’une radio est calculée sur un panel de 129000 personnes de 13 ans et plus.

    Pierro

  • A Dijon, une tour qui vaut le détour…

    Posté le 6 mai 2009 Pierro Pas de commentaires

    Transparente, ventilée, dotée de panneaux solaires, cette tour, agréable à vivre, produit même de l’énergie.

    De l’extérieur, la seule originalité de cette petite tour ovoïde d’une quarantaine de mètres enchâssée entre l’auditorium et le palais des congrès, à Dijon, c’est ce treillis de métal mordoré à grosses mailles qui ­enserre en un contour irrégulier un bon tiers du bâtiment. « Il s’agit d’un « bouclier solaire », explique Jean-Marie Charpentier, l’architecte. Sa découpe est calculée en fonction de la course du soleil aux heures les plus chaudes. » Commanditaire, coconcepteur avec l’architecte et utilisateur de cet immeuble de bureaux de 5 000 mètres carrés, Thierry Bièvre constate qu’il n’a pas coûté plus cher qu’un autre (1 400 EUR le mètre carré) et est aujourd’hui « le plus sobre d’Europe, voire du monde » ! Le défi, pour ce patron d’Elithis, PME de soixante-quinze salariés spécialisée en ingénierie thermique, était de montrer l’exemple en réalisant le premier bâtiment tertiaire à énergie positive (1). Avec l’idée que le bien-être aussi fait partie du développement durable.

    Résultat, plutôt qu’une grosse bouteille Thermos étanche comme le sont la plupart des constructions labellisées HQE (haute qualité environnementale), la tour Elithis frappe d’abord par sa transparence. Tous ses bureaux sont en premier jour, ce qui dispense de l’éclairage artificiel. L’aération associe trois systèmes : une climatisation pour les quelques jours très chauds, un chauffage au bois pour les deux ou trois mois trop froids et une ventilation naturelle automatique le reste du temps. Sur le toit, 560 mètres carrés de panneaux photo­voltaïques permettent de limiter les dépenses énergétiques à 20 kilowattheures par mètre carré et par an (contre 240 en moyenne dans les bureaux normaux). Pour descendre à zéro, Thierry Bièvre compte sur les effets qu’aura ce bâtiment vertueux sur les comportements : prendre l’escalier plutôt que l’ascenseur, débrancher son ordinateur en partant, faire le ménage en journée et non à l’aube, à la lumière électrique. Mille six cents capteurs répartis sur le bâtiment analysent en temps réel tous ces paramètres, qui s’affichent en façade, à la vue de tous…

    (1) Ce qui signifie que ce bâtiment produit plus d’énergie qu’il n’en dépense.

    Luc Le Chatelier

    Voir le dossier de presse : cliquer ici.

    Pierro

  • Les étudiants de la faculté Jean Monnet de Saint-Etienne ont un drôle de sens de l’humour…

    Posté le 23 avril 2009 Pierro Pas de commentaires

    Les étudiants de la faculté Jean Monnet de Saint-Etienne ont un drôle de sens de l’humour…

    Voici ce que l’on peux par exemple trouver sur Google Maps :

    Enfin bref mon prochain article sera j’espère plus intéressant… Désolé…

  • Deux nouvelles astuces Google

    Posté le 22 avril 2009 Pierro Pas de commentaires

    Google dévoile deux nouvelles options de recherche

    Le laboratoire de Google a mis au point un affichage de résultats sous forme de frise chronologique et une fonction de recherche d’images similaires.

    Google a dévoilé deux nouvelles applications pour son moteur de recherche lundi 20 avril : une recherche par chronologie et un outil de recherche d’images similaires.

    « Google News Timeline » propose d’afficher les résultats d’une recherche sous la forme d’une frise chronologique illustrée et de naviguer entre les dates classées par jour, semaine, mois, années ou encore décennies.

    Cette application de Google Actualités permet de paramétrer très précisément les résultats recherchés entre de nombreux titres de presse, différents médias ou évènements internationaux.

    Par défaut, la recherche se base sur le moteur Google, Wikipédia et le Time Magazine.

    Autre nouveauté, « Google Similar Images«   permet d’effectuer des recherches d’images identiques à une première image ou s’en rapprochant.

    Ces deux options sont disponibles sur Google Labs, le laboratoire Google inventeur de ces applications.

    Google Labs, c’est ici !

    Pierro

  • Un milliard d’applications…

    Posté le 16 avril 2009 Pierro Pas de commentaires

    Un petit concours ça vous dis ?

    http://img.skitch.com/20090416-nkwn5xx58ckcdjpd3cirghmf5g.jpg

    Pour fêter son milliard d’application bientôt téléchargées sur l’AppStore, Apple propose un petit concours.

    Il faudra pour gagner être l’un des tous premiers à atteindre le milliard, ce qui peut se faire soit en téléchargeant une application sur son ordinateur, iPod Touch ou iPhone, soit en remplissant un formulaire en ligne.

    Notez qu’il vous est possible de tenter votre chance au maximum 25 fois dans une journée.

    http://images.apple.com/fr/itunes/billion-app-countdown/images/countdown-itunes20090409.jpg

    Le concours est ouvert à tous les résidents de pays où l’AppStore est disponible et propose de gagner les lots suivants :

    1. Un MacBook Pro 17″
    2. Un iPod Touch 32 Go
    3. Un bon cadeau iTunes Store de 10000$
    4. Un Time Capsule

    rendez vous par ici :)

  • Présenter sa thèse en trois minute ? C’est possible !

    Posté le 15 avril 2009 Pierro Pas de commentaires

    Un article repris sur un sujet inhabituel : comment parler de sa thèse !

    Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, paraît-il.

    C’est cela, oui.

    Las de voir leurs amis soupirer au simple énoncé de leur sujet de recherche, des étudiants malins ont décidé de présenter leur thèse sous forme de court métrage. Certains vont même jusqu’à la danser…

    C’est la grande trouille du thésard : devoir expliquer ce qu’il fait. Décrire en trois mots ce qu’il fabrique, jour après jour, seul dans son labo. Certains doctorants finissent par baisser les bras, quand d’autres commencent à faire des films. Des petites fictions bricolées qui tentent de résumer « l’inrésumable », de faire comprendre en quinze plans de caméra « les phénomènes de sélectivité des neurones du cortex visuel primaire » – parmi d’autres sujets plus pointus qu’un scalpel.

    Il y a dix ans, l’université de La Rochelle lançait le premier Festival du très court métrage de vulgarisation scientifique qui, depuis, a essaimé dans plusieurs villes étudiantes (1).

    Vous pouvez retrouvez les deux éditions précédentes en cliquant ici :

    Les films du Festival du très court métrage de vulgarisation scientifique, édition 2008

    Les films du Festival du très court métrage de vulgarisation scientifique, édition 2007

    « On veut montrer que la science n’est pas qu’une série d’équations dans un bouquin », résume Ronan James, thésard en météorologie dynamique et responsable du festival parisien Les chercheurs font leur cinéma. « On peut raconter sa thèse de différentes façons, y compris en imaginant un thriller dans les couloirs de Normale sup. Il suffit juste d’être inventif. » Le nombre d’apprentis cinéastes (1) a doublé cette année, pour des films scientifico-ludiques qui seront projetés à l’automne au Grand Palais, à La Villette, dans les lycées… Et après ? Les plus tenaces pourront tenter l’expérience ultime : le concours Dance your thesis (« danse ta thèse »), organisé sur YouTube par le très sérieux magazine américain Science.

    Erwan Desplanques

    (1) Une formation technique de cinq jours (caméra, montage, etc.) est offerte aux doctorants motivés.

    Pour s’inscrire : c’est ici !

    Pierro