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  • Une petite grenouille m’a dit…

    Posté le 11 février 2011 Pierro Pas de commentaires

    Bonjour !

    Un passage éclair par ici, une vidéo à vous faire découvrir, c’est l’histoire d’une petite grenouille…

    A bientôt !

    Pierro

  • Vous utilisez Plex ? Vous devez essayer ça !

    Posté le 21 décembre 2010 Pierro Pas de commentaires

    Bonsoir !

    Rapide passage ici pour vous faire découvrir une merveille si vous utilisez Plex : Plex Export !

    Plex Export vous permet en deux clics de générer une liste de vos médias sur Plex et de pouvoir ensuite la partager facilement. Voici par exemple ce que cela donne avec ma bibliothèque Plex : Ma bibliothèque

    Pour télécharger Plex Export, cliquer ici.

    A bientôt !

    Pierro

  • Lendemain de conseil de classe…

    Posté le 23 septembre 2010 Pierro Pas de commentaires

    Bonjour tout le monde !

    Un petit passage rapide sur le blog, une vidéo à partager :

    Ca rappellera des souvenirs à ceux qui ne vont plus à l’école, ça fera rire ceux qui y vont toujours et c’est très bien vu !

    A bientôt,

    Pierro

  • Val m’a sauvé

    Posté le 28 juillet 2010 Pierro 1 commentaire

    Oui, j’ai connu l’addiction… J’en parle avec d’autant plus de détachement que cette période difficile est enfin derrière moi. Pendant des années, je n’ai pas pu m’installer dans ma voiture sans allumer la radio, non pour écouter une quelconque musique téléchargée illégalement ou une fréquence méchamment commerciale. Non. J’écoutais France Inter. J’étais un accro du 7/9, totalement dépendant d’une planète qui tourne, raide dingue de vagabondages, toujours sur la route ou sur les traces des millénaires passés… La grève des personnels techniques était mon cauchemar, les zones de non-couverture étaient ma hantise. Ma vie était un enfer de modulation. Et puis un homme m’a libéré. Ou plutôt trois hommes : le président d’une République étrange, celui d’une maison plus trop ronde, et puis Philippe Val. en quelques mois, il a rendu possible une guérison que je n’attendais plus : sabotage de la différence, exclusions à la pelle, saccage de la grille, retour à des valeurs et à des principes éculés, chasse impitoyable à l’auditeur. Rien n’a pu l’arrêter, même s’il doit déjà savoir que mon salut ne lui sera pas pardonné. Un jour ou l’autre, mon samaritain sera un martyr des ondes, sacrifié pour une courbe d’Audimat forcément dépressive, mais combien d’âmes damnées ainsi sauvées ? Moi, je ne l’oublierais pas.

    Fanise, Rouen

    P.S. : Ce message n’est pas de moi, mais exprime de façon tellement claire ce que je ressens que je n’ai pas pu m’empêcher de le partager avec vous ! Source : Télérama n° 3158

  • Vive l’adolescence !

    Posté le 28 septembre 2009 Pierro 2 commentaires

    Pour bien commencer cette nouvelle semaine, une critique d’un film que j’ai vu hier et que j’ai beaucoup aimé : Fish Tank.

    Fish Tank
    Film britannique de Andrea Arnold

    Elle jure comme un charretier, ne tient pas en place, décroche un coup de boule aux importunes. Mais parfois, un éclair d’innocence passe dans ses yeux. C’est Mia (Katie Jarvis, vraie révélation), jeune ado rageuse de 15 ans, rebelle sans cause d’une banlieue prolétaire blanche d’Angleterre. Elle vit avec sa jeune mère, encore immature et volontiers portée sur la bouteille, et sa petite soeur, concurrente sérieuse dans le championnat d’injures.

    Horizon barré. Le film mise, pourtant, sur son héroïne en même temps que sur l’actrice. D’abord, Mia fait des merveilles dans la danse hip-hop, répète seule dans son coin, sue sur ses figures. Et puis, il y a Connor (Michael Fassbender), le nouveau mec – très sexy – de sa mère qui s’installe un moment à la maison. A son contact, Mia relâche la tension…

    Andrea Arnold avait signé un premier film, Red Road, conceptuel et assez froid. Cette fois, on s’attache aux personnages, tous pourvus de défauts, mais non stigmatisés – pas même Connor le lâche. Le film prend des tours souvent inattendus, échappe au béton et gagne la campagne au bord de l’eau, dans un semblant de joie familiale.

    Malgré les épreuves, la sauvageonne s’adoucit, s’humanise. Le film raconte, mine de rien, un processus de maturité, qui passe par la confiance en soi, le soutien, l’amour. La réalisatrice combine finement tableau social et imaginaire poétique. Au milieu du tumulte, des disputes qui dominent, affleurent de beaux instants de douceur. Pour preuve ces séquences de ralentis, vagues de désir où Mia se sent portée, caressée, soulevée vers le haut comme une plume.

    Jacques Morice – Télérama.fr

    La bande annonce :

    Le site officiel : Fish Tank (En Anglais)

    A très vite !

    Pierro

  • Moi, Mustapha Kessous, journaliste au « Monde » et victime du racisme

    Posté le 24 septembre 2009 Pierro 1 commentaire

    Brice Hortefeux a trop d’humour. Je le sais, il m’a fait une blague un jour. Jeudi 24 avril 2008. Le ministre de l’immigration et de l’identité nationale doit me recevoir dans son majestueux bureau. Un rendez-vous pour parler des grèves de sans-papiers dans des entreprises. Je ne l’avais jamais rencontré. Je patiente avec ma collègue Laetitia Van Eeckhout dans cet hôtel particulier de la République. Brice Hortefeux arrive, me tend la main, sourit et lâche : « Vous avez vos papiers ? »

    Trois mois plus tard, lundi 7 juillet, jour de mes 29 ans. Je couvre le Tour de France. Je prépare un article sur ces gens qui peuplent le bord des routes. Sur le bitume mouillé près de Blain (Loire-Atlantique), je m’approche d’une famille surexcitée par le passage de la caravane, pour bavarder. « Je te parle pas, à toi », me jette un jeune homme, la vingtaine. A côté de moi, mon collègue Benoît Hopquin n’a aucun souci à discuter avec cette « France profonde ». Il m’avouera plus tard que, lorsque nous nous sommes accrédités, une employée de l’organisation l’a appelé pour savoir si j’étais bien son… chauffeur.

    Je pensais que ma « qualité » de journaliste au Monde allait enfin me préserver de mes principaux « défauts » : être un Arabe, avoir la peau trop basanée, être un musulman. Je croyais que ma carte de presse allait me protéger des « crochets » balancés par des gens obsédés par les origines et les apparences. Mais quels que soient le sujet, l’endroit, la population, les préjugés sont poisseux.

    J’en parle souvent à mes collègues : ils peinent à me croire lorsque je leur décris cet « apartheid mental », lorsque je leur détaille les petites humiliations éprouvées quand je suis en reportage, ou dans la vie ordinaire. A quoi bon me présenter comme journaliste au Monde, on ne me croit pas. Certains n’hésitent pas à appeler le siège pour signaler qu’ »un Mustapha se fait passer pour un journaliste du Monde ! »

    Ça fait bien longtemps que je ne prononce plus mon prénom lorsque je me présente au téléphone : c’est toujours « M. Kessous ». Depuis 2001, depuis que je suis journaliste, à la rédaction de Lyon Capitale puis à celle du Monde, « M. Kessous », ça passe mieux : on n’imagine pas que le reporter est « rebeu ». Le grand rabbin de Lyon, Richard Wertenschlag, m’avait avoué, en souriant : « Je croyais que vous étiez de notre communauté. »

    J’ai dû amputer une partie de mon identité, j’ai dû effacer ce prénom arabe de mes conversations. Dire Mustapha, c’est prendre le risque de voir votre interlocuteur refuser de vous parler. Je me dis parfois que je suis parano, que je me trompe. Mais ça s’est si souvent produit…

    A mon arrivée au journal, en juillet 2004, je pars pour l’île de la Barthelasse, près d’Avignon, couvrir un fait divers. Un gamin a été assassiné à la hachette par un Marocain. Je me retrouve devant la maison où s’est déroulé le drame, je frappe à la porte, et le cousin, la cinquantaine, qui a tenté de réanimer l’enfant en sang, me regarde froidement en me lançant : « J’aime pas les Arabes. » Finalement, il me reçoit chez lui.

    On pensait que le meurtrier s’était enfui de l’hôpital psychiatrique de l’endroit : j’appelle la direction, j’ai en ligne la responsable : « Bonjour, je suis M. Kessous du journal Le Monde… » Elle me dit être contente de me recevoir. Une fois sur place, la secrétaire lui signale ma présence. Une femme avec des béquilles me passe devant, je lui ouvre la porte, elle me dévisage sans me dire bonjour ni merci. « Il est où le journaliste du Monde ? », lance-t-elle. Juste derrière vous, Madame : je me présente. J’ai alors cru que cette directrice allait s’évanouir. Toujours pas de bonjour. « Vous avez votre carte de presse ?, me demande-t-elle. Vous avez une carte d’identité ? » « La prochaine fois, Madame, demandez qu’on vous faxe l’état civil, on gagnera du temps », riposté-je. Je suis parti, évidemment énervé, forcément désarmé, avant de me faire arrêter plus loin par la police qui croyait avoir… trouvé le suspect.

    Quand le journal me demande de couvrir la révolte des banlieues en 2005, un membre du club Averroès, censé promouvoir la diversité, accuse Le Monde d’embaucher des fixeurs, ces guides que les journalistes paient dans les zones de guerre. Je suis seulement l’alibi d’un titre « donneur de leçons ». L’Arabe de service, comme je l’ai si souvent entendu dire. Sur la Toile, des sites d’extrême droite pestent contre « l’immonde » quotidien de référence qui a recruté un « bougnoule  » pour parler des cités.

    Et pourtant, s’ils savaient à quel point la banlieue m’était étrangère. J’ai grandi dans un vétuste appartement au coeur des beaux quartiers de Lyon. En 1977, débarquant d’Algérie, ma mère avait eu l’intuition qu’il fallait vivre au centre-ville et non pas à l’extérieur pour espérer s’en sortir : nous étions parmi les rares Maghrébins du quartier Ainay. Pour que la réussite soit de mon côté, j’ai demandé à être éduqué dans une école catholique : j’ai vécu l’enfer ! « Retourne dans ton pays », « T’es pas chez toi ici », étaient les phrases chéries de certains professeurs et élèves.

    Le 21 décembre 2007, je termine une session de perfectionnement dans une école de journalisme. Lors de l’oral qui clôt cette formation, le jury, composé de professionnels, me pose de drôles de questions : « Etes-vous musulman ? Que pensez-vous de la nomination d’Harry Roselmack ? Si vous êtes au Monde, c’est parce qu’il leur fallait un Arabe ? »

    A plusieurs reprises, arrivant pour suivre un procès pour le journal, je me suis vu demander : « Vous êtes le prévenu ? » par l’huissier ou le gendarme en faction devant la porte du tribunal.

    Le quotidien du journaliste ressemble tant à celui du citoyen. Depuis plusieurs mois, je cherche un appartement. Ces jours derniers, je contacte un propriétaire et tombe sur une dame à la voix pétillante : « Je m’appelle Françoise et vous ? » « Je suis M. Kessous « , lui répondis-je en usant de mon esquive habituelle. « Et votre prénom ? », enchaîne-t-elle. Je crois qu’elle n’a pas dû faire attention à mon silence. Je n’ai pas osé le lui fournir. Je me suis dit que, si je le lui donnais, ça serait foutu, qu’elle me dirait que l’appartement avait déjà été pris. C’est arrivé si souvent. Je n’ai pas le choix. J’hésite, je bégaye : « Euhhhhh… Mus… Mustapha. »

    Au départ, je me rendais seul dans les agences immobilières. Et pour moi – comme par hasard – il n’y avait pas grand-chose de disponible. Quand des propriétaires me donnent un rendez-vous pour visiter leur appartement, quelle surprise en voyant « M. Kessous » ! Certains m’ont à peine fait visiter les lieux, arguant qu’ils étaient soudainement pressés. J’ai demandé de l’aide à une amie, une grande et belle blonde. Claire se présente comme ma compagne depuis cet été et fait les visites avec moi : nous racontons que nous allons prendre l’appartement à deux. Visiblement, ça rassure.

    En tout cas plus que ces vigiles qui se sentent obligés de me suivre dès que je pose un pied dans une boutique ou que ce vendeur d’une grande marque qui ne m’a pas ouvert la porte du magasin. A Marseille, avec deux amis (un Blanc et un Arabe) – producteurs du groupe de rap IAM -, un employé d’un restaurant a refusé de nous servir…

    La nuit, l’exclusion est encore plus humiliante et enrageante, surtout quand ce sont des Noirs et des Arabes qui vous refoulent à l’entrée d’une boîte ou d’un bar. Il y a quatre mois, j’ai voulu amener ma soeur fêter ses 40 ans dans un lieu parisien « tendance ». Le videur nous a interdit l’entrée : « Je te connais pas ! » Il aurait pourtant pu se souvenir de ma tête : j’étais déjà venu plusieurs fois ces dernières semaines, mais avec Dida Diafat, un acteur – dont je faisais le portrait pour Le Monde – et son ami, le chanteur Pascal Obispo.

    Fin 2003, je porte plainte contre une discothèque lyonnaise pour discrimination. Je me présente avec une amie, une « Française ». Le portier nous assène le rituel « Désolé, y a trop de monde. » Deux minutes plus tard, un groupe de quinze personnes – que des Blancs – entre. Je veux des explications. « Dégage ! », m’expédie le videur. La plainte sera classée sans suite. J’appellerai Xavier Richaud, le procureur de la République de Lyon, qui me racontera qu’il n’y avait pas assez d’ »éléments suffisants ».

    Que dire des taxis qui après minuit passent sans s’arrêter ? Que dire de la police ? Combien de fois m’a-t-elle contrôlé – y compris avec ma mère, qui a plus de 60 ans -, plaqué contre le capot de la voiture en plein centre-ville, fouillé jusque dans les chaussettes, ceinturé lors d’une vente aux enchères, menotté à une manifestation ? Je ne compte plus les fois où des agents ont exigé mes papiers, mais pas ceux de la fille qui m’accompagnait : elle était blonde.

    En 2004, une nuit à Lyon avec une amie, deux policiers nous croisent : « T’as vu le cul qu’elle a ! », lance l’un d’eux. « C’est quoi votre problème ? » rétorqué-je. Un des agents sort sa matraque et me dit en la caressant : « Il veut quoi le garçon ? » Le lendemain, j’en ai parlé avec Yves Guillot, le préfet délégué à la police : il m’a demandé si j’avais noté la plaque de leur voiture. Non…

    En 2007, la brigade anticriminalité, la BAC, m’arrête sur les quais du Rhône à Lyon : j’étais sur un Vélo’v. On me demande si j’ai le ticket, si je ne l’ai pas volé. L’autre jour, je me gare en scooter sur le trottoir devant Le Monde. Je vois débouler une voiture, phares allumés : des policiers, mains sur leurs armes, m’arrêtent. Je leur dis que je travaille là. Troublés, ils me demandent ma carte de presse, mais pas mon permis.

    Des histoires comme celles-là, j’en aurais tant d’autres à raconter. On dit de moi que je suis d’origine étrangère, un beur, une racaille, un islamiste, un délinquant, un sauvageon, un « beurgeois », un enfant issu de l’immigration… Mais jamais un Français, Français tout court.

    Mustapha Kessous – LeMonde.fr – 23/09/09

  • Arrêtez le monde, je voudrais descendre !

    Posté le 12 septembre 2009 Pierro Pas de commentaires

    Bonjour !

    Du théâtre aujourd’hui avec la lettre du parvis qui vient d’arriver !

    Ca se passe à Dijon et si vous êtes dans le coin, je vous conseille d’y aller !

    A bientôt,

    Pierro

  • Keynote d’Apple dans 1 heure !

    Posté le 9 septembre 2009 Pierro Pas de commentaires

    Bonsoir !

    C’est dans 15 minutes qu’aura lieu la retransmission par WelovemacJT de la keynote d’Apple !

    Je vous propose de suivre cette dernière avec Podradio, CaptainWeb et Matthieu Blanco !

    L’émission du live de la Keynote Apple par WelovemacJT :

    La ChatRoom :

    Pour vous faire patienter encore 15 minutes :

    A très vite !

    Pierro

  • Rappel : Ce soir à 20 h 00, Paris d’amis commence !

    Posté le 6 septembre 2009 Pierro Pas de commentaires

    Bonjour !

    Petite piqure de rappel aujourd’hui pour vous faire penser à regarder le premier épisode de Paris d’amis, la websérie dont on parle beaucoup en ce moment. (Alors que le premier épisode ne passe que ce soir !)

    Paris d’amis ? C’est quoi ?

    C’est une websérie créée par Emeric Berco, diffusée uniquement sur Internet, (pour l’instant en tout cas), et, qui sera composée de 13 épisodes de 22 minutes chacun.

    La diffusion va s’étaler entre ce soir et mars 2010 avec deux épisodes par mois à voir.

    Le synopsis de cette série : l’histoire d’une bande d’amis, parisiens, qui affrontent ensemble leurs expériences, réussites et difficultés du passage entre la fin de l’adolescence et le début de l’âge adulte.

    La série est portée par six jeunes acteurs et fait un peu penser à une version Parisienne de Plus belle la vie.

    Voici quelques « plus » en attendant ce soir :

    Le teaser :

    Le site officiel : Paris d’amis

    Le Twitter : Paris d’amis

    A très vite,

    Pierro

  • Le matou revient, le jour suivant !

    Posté le 2 septembre 2009 Pierro Pas de commentaires

    Bludzee, la nouvelle bande dessinée numérique de Lewis Trondheim est arrivé hier sur l’iPhone !

    L’application est disponible au téléchargement sur l’App Store, à 0,79 €.

    Le but de cette application est de rendre disponible tous les jours un strip de six cases pendant une année entière. On peut s’abonner chaque mois à 0,79 €, ou, s’acquitter immédiatement de la saison complète, (1 an). Les strips se dévoilent alors jour après jour, (si on a accès à Internet bien sûr). On peut revoir les jours précédents et même les re-télécharger si besoin. Des bonus vont être disponible au cours de l’année : vidéos, photos, interview, etc.

    Le logiciel est bien fait, on peut faire défiler la BD manuellement ou laisser l’application gérer son affichage.

    Mais qui est Bludzee ?

    C’est un petit chat enfermé dans un appartement qui doit se débrouiller tout seul. Très froussard, il ne sort jamais de chez lui même quand l’occasion se présente.

    Il passe beaucoup de temps sur Facebook et va même rencontrer d’autres personnes. Les petites histoires ne se suivent pas toujours mais l’humour est toujours présent, au minimum vous sourirez parfois même on rigole franchement !

    La BD très courte avec ce rythme quotidien va bien à l’iPhone, la lecture est très agréable, pas besoin de zoomer ou de se déplacer dans l’image.

    Dernier détail : Bludzee vous offre tout le mois d’août et le mois de septembre.

    Ce n’est qu’à partir d’octobre qu’il faudra payer les 0,79 € mensuels ou prendre l’abonnement à l’année.

    En savoir plus sur Bludzee.

    A très vite !

    Pierro