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Une petite grenouille m’a dit…
Posté le 11 février 2011 Pas de commentairesBonjour !
Un passage éclair par ici, une vidéo à vous faire découvrir, c’est l’histoire d’une petite grenouille…
A bientôt !
Pierro
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Lendemain de conseil de classe…
Posté le 23 septembre 2010 Pas de commentairesBonjour tout le monde !
Un petit passage rapide sur le blog, une vidéo à partager :
Ca rappellera des souvenirs à ceux qui ne vont plus à l’école, ça fera rire ceux qui y vont toujours et c’est très bien vu !
A bientôt,
Pierro
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Val m’a sauvé
Posté le 28 juillet 2010 1 commentaireOui, j’ai connu l’addiction… J’en parle avec d’autant plus de détachement que cette période difficile est enfin derrière moi. Pendant des années, je n’ai pas pu m’installer dans ma voiture sans allumer la radio, non pour écouter une quelconque musique téléchargée illégalement ou une fréquence méchamment commerciale. Non. J’écoutais France Inter. J’étais un accro du 7/9, totalement dépendant d’une planète qui tourne, raide dingue de vagabondages, toujours sur la route ou sur les traces des millénaires passés… La grève des personnels techniques était mon cauchemar, les zones de non-couverture étaient ma hantise. Ma vie était un enfer de modulation. Et puis un homme m’a libéré. Ou plutôt trois hommes : le président d’une République étrange, celui d’une maison plus trop ronde, et puis Philippe Val. en quelques mois, il a rendu possible une guérison que je n’attendais plus : sabotage de la différence, exclusions à la pelle, saccage de la grille, retour à des valeurs et à des principes éculés, chasse impitoyable à l’auditeur. Rien n’a pu l’arrêter, même s’il doit déjà savoir que mon salut ne lui sera pas pardonné. Un jour ou l’autre, mon samaritain sera un martyr des ondes, sacrifié pour une courbe d’Audimat forcément dépressive, mais combien d’âmes damnées ainsi sauvées ? Moi, je ne l’oublierais pas.
Fanise, Rouen
P.S. : Ce message n’est pas de moi, mais exprime de façon tellement claire ce que je ressens que je n’ai pas pu m’empêcher de le partager avec vous ! Source : Télérama n° 3158
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C’est la rentrée !
Posté le 31 août 2009 Pas de commentairesBonjour !
C’est la rentrée et pour fêter ça, les matinales des radios recommencent sur les chapeaux de roues !
Un petit exemple ce matin avec le retour de Stéphane Guillon :
A très vite !
Pierro
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La maison de la Radio enfin dans votre poche !
Posté le 25 août 2009 2 commentairesBonjour !
En ligne depuis quelques temps mais dévoilé officiellement hier seulement, Radio France propose de télécharger son application sur votre iPhone ou iPod Touch !
Une version Mac est même disponible !
J’utilise la version iPhone depuis quelques jours déjà et elle est très agréable. Des versions de l’application aux couleurs de votre radio préférée sont aussi disponibles !
Voici les liens :
- Télécharger l’application pour iPhone / iPod Touch
- Mode d’emploi iPhone / iPod Touch
- Télécharger l’application pour Mac OS X
- Mode d’emploi Mac OS X
- Site officiel
A très vite !
Pierro
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Un bol d’humour pour commencer la semaine !
Posté le 8 juin 2009 Pas de commentairesDécouvrez la chronique de Sophia Aram, passée vendredi 5 juin dans Le fou du roi sur France Inter :
[dewplayer:http://leblogdepierro.free.fr/Sons/SophiaAram.mp3]
Pour en savoir plus sur Sophia Aram, placez un coup de souris ici.
Et pour en savoir plus sur Le fou du roi, c’est par là !
Pierro
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Merde ! La fête des mères ! J’ai pas d’idées, et toi ?
Posté le 5 juin 2009 Pas de commentairesVous aussi vous ne savez pas quoi faire ?
Voici peut-être quelques pistes :
Alors, ça y est ? L’idée est trouvée ?
Pierro
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Le gang des doudous a encore frappé !
Posté le 26 mai 2009 Pas de commentairesEt voilà, ça y est, encore une nouvelle victime !
Stéphane Guillon s’attaque ce matin au problème de l’autorité à l’école : faut-il encourager Xavier Darcos ? Oui ! Découvrez dans la vidéo pourquoi :
Convaincu, non ?
Pierro
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Cours de langue…
Posté le 14 mai 2009 3 commentairesVoici une chronique à écouter, celle de Vincent Rocca, passée ce matin dans Le fou du roi, à propos de l’invité de l’émission : Claude Hagège.
[dewplayer:http://leblogdepierro.free.fr/Sons/VincentRocca.mp3]
Si le son ne démarre pas sur votre ordinateur, cliquez ici !
Qui est Claude Hagège ? C’est l’auteur du Dictionnaire amoureux des langues.
Personne n’est indifférent aux langues humaines, dont l’apparition, aux aurores de notre espèce, est ce qui a permis à ses membres de nouer des relations sociales qu’aucune autre espèce animale ne connaît. Ceux et celles qui n’aiment pas les langues, parce que la difficulté d’apprendre certaines d’entre elles les rebute, trouveront dans ce Dictionnaire amoureux des langues, sinon des raisons de les aimer, du moins assez de matière pour rester étonnés devant tout ce que les langues nous permettent de faire, de dire, et de comprendre sur notre nature.
A demain !
Pierro
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Que va faire Philippe Val ?
Posté le 12 mai 2009 Pas de commentairesVoici une reprise d’un article publié sur Télérama à propos du futur de France Inter…
Tandis que Jean-Luc Hees, nouveau PDG de Radio France, entre en fonction aujourd’hui, à France Inter, on ne doute plus vraiment de l’arrivée de Philippe Val, futur ex-patron de l’insolent “Charlie Hebdo” (donnée pour le 2 juin). Et certains (anonymes…) dissimulent mal leur inquiétude.
Les grands travaux vont débuter, à France Inter. Le 2 juin, Philippe Val devrait remplacer Frédéric Schlesinger, directeur depuis cinq ans. Une information que relaient des conseillers de l’Elysée, mais que, le 6 mai dernier, l’intéressé ne voulait ni confirmer ni infirmer, ajoutant « d’une façon ou d’une autre, je travaillerai avec Jean-Luc Hees ». Le futur ex-patron de Charlie Hebdo et son ami le nouveau président de Radio France devraient aussitôt s’attaquer à la nouvelle grille de septembre, modifiant du coup l’avenir des uns ou des autres. Pour l’heure, dans les couloirs de France Inter, personne ne semble y prêter attention. Au mieux, certains journalistes ou producteurs assurent avec beaucoup de distance « on attend », « on verra ». D’autres, avec une pointe d’humour et de cynisme, lancent « c’est amusant ». Et tous d’affirmer, comme une profession de foi : « On jugera sur pièces, après la déclaration de politique générale de Philippe Val. »
Le temps, évidemment, n’est pas à la confidence. Prudence et langue de bois dissimulent mal de nombreuses inquiétudes. Et, sous couvert d’anonymat, chacun se perd en conjectures. Si l’arrivée de Philippe Val est confirmée, que deviendra la radio publique ? Quels changements viendront modifier la grille ? Une ligne éditoriale sera-t-elle imposée ? Et l’indépendance de la chaîne par rapport au pouvoir ? Et la matinale ? Et les départs ? Il y a ceux qui vont s’en aller, indépendamment de l’arrivée de Philippe Val, profitant des propositions de la concurrence – une rumeur donne Yves Calvi débauché par RTL. Il y a tous les autres, journalistes ou producteurs (leurs contrats annuels se terminent fin juin), qui se demandent à quelle sauce ils vont être mangés par l’ancien patron de Charlie Hebdo.
« Il ne touchera à rien », assurent les optimistes. A leurs yeux, Philippe Val n’est pas ce coupeur de têtes que l’on décrit. Il connaît la chaîne pour avoir tenu une chronique hebdomadaire, chaque vendredi. Il ne pourra pas non plus être la courroie de transmission de l’Elysée, ayant dirigé un journal qui prône l’insolence, la critique de l’Etat et se veut résolument de gauche. Enfin, et c’est peut-être là l’argument le plus réaliste, France Inter, comme toutes les radios, est un porte-avions qui a sa logique propre et une force d’inertie qu’il est difficile d’ignorer. D’ailleurs, quel intérêt aurait Philippe Val à changer une équipe qui gagne, à bousculer une chaîne qui ne cesse d’augmenter son audience (lire encadré ci-dessous) et dont la courbe ascendante suscite le respect de la part de ses concurrentes privées ? Il n’y aurait donc rien à craindre de ce changement de direction, d’autant que le nouveau patron de Radio France est un ancien directeur de France Inter, viscéralement attaché à la chaîne. Dont acte.
Mais ces arguments ne suffisent pas à rassurer les pessimistes qui posent d’autres questions. Philippe Val sera-t-il capable de conduire une chaîne qui compte plus de cinq millions d’auditeurs quotidiens, alors que son expérience de direction se limite à un magazine qui, au regard de la puissance de la radio, apparaît comme un fanzine ? D’autant que Philippe Val n’est pas connu pour son sens aigu de la direction d’équipe. Le nouveau directeur sera-t-il d’autre part capable de laisser à la porte d’Inter ses positions idéologiques ? Que se passera-t-il lorsque la rédaction devra parler du conflit israélo-palestinien alors que l’inconditionnel soutien pro-israélien de Philippe Val est de notoriété publique ? Comment la chaîne devra-t-elle se comporter lors de la présidentielle de 2012 ? Pourra-t-elle dire ce qu’elle pense du bilan de Nicolas Sarkozy qui a personnellement choisi et le président de Radio France et Philippe Val ? Devra-t-elle, pendant la campagne électorale, oublier de poser les bonnes questions, pour adopter une neutralité de bon aloi ? Et quid de l’impertinence d’Inter, une de ses marques de fabrique, quand Jean-Luc Hees vient d’assurer devant le CSA « douter que les auditeurs la cherchent » ? A croire le tout nouveau président de Radio France, Stéphane Guillon, l’humoriste de la matinale d’Inter qui agace tant le président de la République, restera à l’antenne. Mais il n’a pas précisé à quelle heure. Et Thomas Legrand, l’éditorialiste politique de la matinale ? Et Daniel Mermet, dont la voix particulière n’est pas du goût de Philippe Val ?
A cette avalanche d’interrogations et de craintes s’en rajoute une dernière, partagée par tous : celle du caractère autocratique du futur directeur de France Inter. Ses emportements, ses opinions tranchées risquent de se marier bien mal avec une chaîne composée de personnalités fortes, de journalistes et producteurs compétents et qui entendent être respectés. A quelques jours de l’arrivée du nouveau patron, l’ensemble du personnel, rassuré ou non, crédule ou dubitatif, espère que, « la fonction faisant l’homme », Philippe Val endossera dignement les habits de directeur de la chaîne publique. Il trouvera alors une radio en bonne santé. Et en ordre.
L’autosatisfecit de Jean-Luc Hees
« Lorsque j’étais directeur de France Inter, j’ai toujours été devant Europe 1. Mes plus mauvais scores d’audience, réalisés lors des grèves, sont meilleurs que ceux d’aujourd’hui », affirmait Jean-Luc Hees lors de son audition devant le Conseil supérieur de l’audiovisuel. Le tout nouveau patron de Radio France faisait alors coup double : il revendiquait la qualité de son travail lorsqu’il dirigeait la chaîne généraliste de 1999 à 2004 et montrait combien, depuis la nomination de Frédéric Schlesinger, France Inter avait baissé. La réalité des chiffres est, bien sûr, plus complexe.
Quand Jean-Luc Hees est nommé directeur en janvier 1999, l’audience d’Inter réalise en effet un score remarquable : 12,1 points selon Médiamétrie (1). Mais lorsqu’il laisse la chaîne en 2004, les chiffres ont chuté puisqu’elle n’affiche plus que 10,3. Puis, sous la direction de Gilles Schneider, France Inter passera sous la barre des 10 pour afficher un 9,2 en avril-juin 2006 lorsque Frédéric Schlesinger est nommé pour remonter l’audience. Une mission réussie puisque Inter regagne du terrain pour atteindre aujourd’hui les 10,2, se plaçant au-dessus d’Europe 1 (9,4).
Certes, ce chiffre est encore inférieur à celui revendiqué par Jean-Luc Hees. Mais il faut ajouter trois paramètres pour modérer son enthousiasme : l’audience globale du média radio s’est fortement réduite (86,8 en 2003 contre 81,2 aujourd’hui, soit une perte de deux millions et demi d’auditeurs) ; le Plan FM 2006 n’avait pas encore été lancé par le CSA, distribuant de nouvelles fréquences pour les radios privées, améliorant ainsi leur couverture (5 millions d’auditeurs pour RMC, 3 millions pour Europe 1 et 2 millions pour RTL) ; enfin, RMC n’avait pas encore réalisé sa spectaculaire percée et l’écoute de la radio sur Internet était inexistante. C’est dans ce contexte très fortement modifié que France Inter a amélioré ses résultats. Une performance qui, à défaut d’être saluée pour des raisons tactiques, méritait un peu de considération.
Véronique Brocard
(1) L’audience d’une radio est calculée sur un panel de 129000 personnes de 13 ans et plus.
Pierro
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